Une prisonnière....

(j'apprécie ton humour...)

Thalie fulminait dans son cocon, d'une elle détestait être enfermer, et de deux, elle entendait les conversations et n'appréciait pas qu'on la traite comme de la vulgaire marchandise.

*nan mais oooh ils abusent là*

Elle essaya a nouveau de bouger... peine perdue, les fils lui coupaient la circulation dans ses membres qui devenaient douloureux et empli de fourmis. Sa patience était à bout, son caractère de sale gosse bouillonait dans ses veines, et elle se retenait d'hurler contre ces idiots qui l'emmenait elle ne svait trop où.

*génail... et je fais quoi maintenant ?*

Quelque chose qiu descendait... mais où était elle donc ? Elle aurait aimé poser la question à Karl, mais c'était peut être un peu trop demander au tueur. Elle se contenta de pousser un soupir qui en disait long sur son état d'âme et l'état de sa patience... qui n'était pas très longue et tolérante.

Pourquoi faillait il toujours qu’on vienne l’embêtait quand il essayait de s’entraîner doucement à l’écart des personnes. Là il était dans son droit. Il ne martyriser pas de créature. Pourquoi faillait il que l’embête et surtout qu’une créature vienne s’en mêler. Et puis cela commençait à agacer Lee qui jusqu’alors avait fait preuve d’une patience. Lee savait ce qu’il faisait, il ne serrait pas assez fort pour battre Karl, il avait alors tout joué pour protéger cette créature.. Il fallait que cette créature arrête de se débattre c’est tout. Pour cela il avait bien envie de l’assommer .Elle essayait de se débattre et de placer quelque mot. Lee ne fit pas attention, il l’avait déjà sauvé une fois pas eux. Il tenait à sa réputation. Mais au bout d’un moment il finit par se rendre compte que l’humain était entrain de parler .il fit attention au paroles de Karl qui importait plus. Il le traitait de sentimental. Lui sentimental, c’était bien la première et la dernière fois qui le serait. Il se le promettait.

Karl commençait à s’éloigner en traînant la jeune créature.. De toute façon Lee s’était tu, trop occupé à rependre son état normal pour parler à Karl. Lee ne voulait pas la voir mourir devant lui. Qu’elle meure ça il s’en fichait. Mais ce n’étais pas le jour pour lui de voir su sang. Il n’était pas du tout d’humeur à pouvoir en voir. Pourtant se retrouver seul là sans personne ne lui plaisait pas non plus. Il aimait bien Karl malgré son côté froid et distant au début. Il ne voulait pas le quitter. Il fallait dire qu’il l’impressionnait beaucoup. Lee se mit à ressentir des choses bien différentes pendant un moment.

Il se demanda où avait bien put aller karl. Et puis en finissant par réfléchir il se dit qu’il avait forcément dut la mettre en prison chez les tueurs. Il finit par se décider à y retourner. Rapidement et avec un légèreté, il se mit a courir vers le bidonville et la cache des tueurs dont il avait mémorisé le chemin. Une fois arrivé dedans il descendit vers le sous sol des prison prenant l’escalier au lieu de l’ascenseur. Il finit juste par arriver quand Karl ouvrit la porte de l’ascenseur.

« Ah Karl, je te cherchais. . Ca va te paraître stupide, mais j’aime bien ta compagnie. Et puis tu pourra me dire d’où te vient cette force… »

*Crétin de première !* (excusez la, elle est encore jeune)

Thalie grinça des dents sous le coup de pied, trèss bien ajusté de Karl, puisqu'il le,lui avait envoyé dans le genou déjà blessé. Le coup résonna longtemps dans la jambe de la petite banie qui ce contenta de ne plus bouger et de se laisser trainer comme un vulgaire sac à patate.

*nieuh nieuh nieuh... jsuis dans un sale pétrin moi*

Elle ne voyait pas où elle était, ni où on l'emmenait. Une chose l'effrayait, c'était qu'on ne la laisse pas repartir vivante, et qu'elle ne puisse pas retourver Ewan...Mais plus que tout, c'était la voix de Mélisandre qu'elle entendait... ses recommandations... Elle regrettait presque ce qu'elle avait fait. Dans la profondeur si noire de son coeur, elle aurait aimé que la jeune Hll soit là, la prenne dans ses bras et la protège.

*Mélisandre... je fais quoi maintenant ?*

Elle se demandait ce qui allait lui arriver

Lee était content d’avoir retrouver Karl pour pouvoir lui parler. Ille regarda doucement dans les yeux avant de lui sourire un cours instant. Un très court instant puisqu’il le vu frappé avec violence dans la bannie entouré de ses files. Lee fit une grimace d’horreur mais al cacha très vite à karl. Il ne voulait pas qu’il répète qu’il était une sentimentale. Ah ça surtout pas.

*mais si il ne veut pas arrêter de frapper la bannie qu’il le fasse pour mes files, ça coûte cher. Je suis pas millionnaire moi…*

Il fut tiré de ses pensées en entendant la réponse de karl. Elle était nette et précise. Il ne dirait rien. Il n’avait jamais rien dit et il ne dirait jamais rien dans le futur. Lee sourit à cette réponse. Il s’en était douté. Mais lee avait plusieurs corde dans son sac. Il comptait bien les utiliser. Il aimait bien Karl, mais il n’aimait pas le mystère. Et surtout pas le mystère de karl

Lentement il se rapprocha de lui. Il se mit à marcher à côté de lui jusqu’à la cellule du fond.

« Oh je te comprends, tu as tes raison… »

l se retourna lentement en arrière pour voir i il y avait des oreilles indiscrète. Personne semblait il. Il retourna donc sa tête vers Karl.

« Mais dis moi une chose, suis-je le premier à remarquer tu n’es absolument pas humain… »

[hj: je rappelle à Tahlie, qu'elle est sourde et aveugle à cause des files.]

[hj: cela convient-il mieux à Lee ?]

avait-on finit de la traîner ? Mais oui... ça par exemple, que de progrès. Quelque chose coupa les fils du cocon, et Thalie fit tout son possible pour en sortir au plus vite. Ses yeux, déjà habitués à l'obscurité de sa prison de fils, clignèrent quelques instants, traînèrent longuement sur les murs, et voltigèrent dans ceux de Karl. Elle écouta ses explications.

"J'suis pas petite" répondit-elle insolement

*et ensuite c'est pas à toi de me dire de réfléchir* se retiint-elle d'ajouter.

"Et d'abord c'est quoi les tueurs ?"

Son regard noir flamboyait de lueur alternativement agressives et interogatives. Derrière Karl, elle distingua Lee et lui lança un regard farouche. Certes il lui avait évité de se faire à proprement parlé massacrée, bien qu'elle n'ai aucune idée de ce que Karl voulait faire avec ce couteau; mais elle lui en voulait de ne pas être intervenu. Elle admettait difficilement qu'ils soient du même clan, Karl lui paraissant beaucoup plus fort, féroce, agressif et irraisoné que Lee, qui semblait plus "doux" et réfléchit.

*ils ont parlé de quoi ? rooh et puis de toute façon ça doit pas être très intéressant*

Ses ailes se déployèrent dans son dos et battirent très légèrement, afin de se secouer un peu après avoir été si longuement emprisonnée.
Assise sur les liens de soie, les jambes étendues devant elle, Thalie ressemblait plus à une poupée grandeur nature avec des ailes dans le dos qu'à une créature quelque peu vivante... son teint fantomatique en rajoutant une couche.

Lee marchait toujours à côté de Karl. Il avait doucement posé ses yeux sur la cellule du fond. C’était la plus protégé et surtout celle où l’on mettait les prisonniers intéressants. Une assez grande porte de métal empêchait qui conque de pouvoir en sortir où entrer dedans. Lee avait les yeux posé sur la poigné qui était assez rouillé, se démarquer des autres.

Doucement il remit ses yeux sur karl. Celui-ci n’avait pas réagit. Il ne devait pas être le premier à l’avoir remarqué. Bingo, son coéquipier le savait. Lee se mordit la lèvre ne entendant cette phrase. Il avait déjà un coéquipier. Lui avait espérer pouvoir l’être. Il aimait bien cette être mystérieux qui se tenait en face de lui. Aimer bien, était trop peu, aimer était plus véridique. Mais lee ne montra rien, il n’avait jamais montré ses sentiment, il ne montrais pas maintenant. Il se contenta de hocher la tête à la réponde de karl. Il répondit doucement d’une voix sans sentiment

« Ah, tu as un coéquipier. Je ne savais pas. Et tu ne crois pas que c’est louche de faire parti des tueurs quand on n’est pas humain ? »

A la fi de sa phrase il arrivèrent, devant la cellule du fond. Lee se tint devant la porte sans rien dire pendant quelques secondes. Karl lui l’ouvrit et y déposa le cocon dedans. Rapidement avec son couteau il défit laissant respirer la jeune bannie. Lee ne régit à aucun geste du tueur. Il n’avait pas envie de réagir Quand la jeun bannie la regarda avec un air noir, celui ci ne dit rien. Que croyait elle qu’il était un homme gentil.

Renversée, la banie tenta de se débattre, mais abandonna vite son idée, le pied de Karl sur sa gorge l'étouffant à moitié.

"Cer...ment... pas..." siffla-t-elle, les cordes vocales écrasées.

On ne comprenait pas vraiment ce qu'elle disait, mais elle se résigna à attendre, dégageant tant bien que mal ses ailes de sous sa masse, de peur de les abimer. Elle fronça les sourcils, dans son effronterie habituelle, et se contenta de regarder le tueur s'échauffer sur son compagnon

*si lee arrêtait de donner son avis, ça arrangerait pas mal les choses... quoi que je sois assez mal placée pour dire ça*

Elle soupira, et le soupir fut long et douloureux, le cou complètement écrasé, elle pestait intérieusement contre Karl.
Une des paroles de Karl laa fit sursauter, comment pourrait-il prouver que c'était elle qui avait sauté sur Lee, vu que si on retoruvait son cadavre, on remarquerait les deux plaies laissées par les balles de revolver, ce qui l'empechait de bouger...

*c'est un malade mentale ce type*

Lee était sûr que sa remarque le ferait réagir mais pas à ce point. Pourtant quand lee l’avait commencé il y a quelque minute, avant d’être rentrer dans cette cellule, Karl n’avait pas réagis, lui lançant une phrase banale, qui voulait dire « causes toujours tu m’intéresse. »

Au début il ne s’était intéressé qu’à la créature qu’il venait de libérer de ses files. Cette malheureuse inconsciente s’était mise à leur posait des questions, beaucoup de question. Trop de question pour Karl qu’il l’avait fait taire en bloquant brutalement sa gorge avec son pied. Quelle imbécile ! Que croyait elle ?! Que Karl était un enfant de cœur qui répondrait gentiment à toutes ses questions ! Elle devait être folle pour ne pas avoir remarqué qu’elle avait en face d’elle, un des tueurs les plus dangereux e se monde ! A côté de lui, Lee était un petit chiot inoffensif.

Lee voulut arrêter le geste de Karl qui pouvait être dangereux, lorsque celui-ci le prit violement à la gorge et le plaqua contre le mur. Ce geste était violent et lee dut réprimer un cri intérieurement. Karl avait l’air furieux et lui disait qu’il pouvait le supprimer quand il le voulait et qu’il lui suffirait d’accuser la créature en face des deux hommes. Ce chantage ne marchait pas avec Lee qui lui répondit d’une voix calme.

« Oh calme toi ! Il faudrait savoir, il y a quelques minutes je te sortais la même phrase et tu m’as répondu d’une phrase dédaigneuse. Et là tu t’énerves§ Pourquoi je peut dire que tu n’es pas humain, il me suffit de te regarder. Expliques moi comment mes fils qui coupe facilement toute la chaire n’est laissé aucune trace sur ton bras et comment tu fais pour voir aussi bien dans le noir ?! »

Il fit un pause pour respirer avant de reprendre

« Et ne me fais pas de chantage, comment est ce que cette créature avec eux balles dans le corps pourrait e tuer. Il y aura toujours les marques de ses blessures si tu enlèves les balles. Et en plus les gardes t’on vu la ramener, tu es donc responsable ! »

*Excitée ? Nan mais t'as pus le sang que j'ai perdu ? et tu veux en plus que je m'amuse à tuer l'autre ? Mais t'es vraiment aps bien toi*

Les yeux de la gamine lançaient des éclairs de rage, elle était épuisée et pourtant avait envie de tenir tête à Karl sans vouloir se faire encore plus blesser. Lasse de se débattre, elle laissa sa tête sur le sol de la prison et regarda la jôle avec intéret... Sombre, elle avait du mal à distinguer si elle était plutôt sapcieuse ou exigue du fait que les ombres jouaient quelques peu sur les murs. Le regard glissa vers Lee qui ne parraissait pas en meilleure position qu'elle du fait que Karl l'est vulgairement envoyé valdinguer contre le mur.

*Hum... j'aimerais bien connaitre sa définition de douceur* ironisa-t-elle

Lee sentit son dos se fracassait contre le mur. Ce contact aussi doux soit il lui lâcha une grimace de douleur. Là s’en était trop. Il pouvait accepter ce genre de chose pendant un moment mais pas tout le temps. Il se releva doucement. Il resta là quelques minutes doucement avant de se remettre à bouger. Il enleva une mèche qui le gênait et se mit à sourire.

Il se rapprocha doucement de Karl mais resta à une distance respectable. Karl lui disait qu’il ne fallait pas qu’il raconte ce ci à tout le monde. Il le regarda avant de répondre doucement

« Je te conseille pour ta vie, de ne plus m’envoyer contre le mur de cette façon, parce que tu as beau être plus fort physiquement, tu ne connais pas la moindre de mes capacité. Alors arrête »

Il se dirigea doucement vers un mur et s’appuya contre. Il sortit une cigarette et l’alluma avec son briquet. Il en prit quelques bouffés avant de relâcher et filet de fumée. Il regarda de nouveau karl.

« Tu me prends pour qui. Moi aider une créature. Jamais, je les déteste je les hais. Ce ne sont que des pourritures que je désire éliminer un par un. Tous, ils doivent tous nourrirent. Et ne t’en fait pas, je ne dirais rien sur toi, et si elle le sait. Ce n’est pas un problème. Elle n’en a plus pour longtemps à ce que j’ai compris. »