Sorrow D'Aéris [Humain/Tueur]

Nom: D'Aéris écris aléatoirement Daéris ou Aéris.
Prénom: Carl
Surnom: Sorrow ou So
Âge: 27 ans
Lieu de naissance: Terre
Race: Humaine
Clan: Tueurs

Description physique: So est un homme robuste d'un mètre quatre-vingts. Des cheveux noirs longs encadre un visage triangulaire au pomettes saillantes. Sa peau est pale et depourvue de défauts visibles. De fines lèvres rosées parcourent son visage, il ne sourit que très rarement ce qui en fait un personnage inquiétant dans l'ensemble. De temps en temps il ramène sa chevelure en catogan au niveau de sa nuque mais les laisse aussi pendre librement simplement retenus par une mini queue de cheval qui ne prend qu'une partie des cheveux et qui prend place sur l'arrière de son crane.
Des yeux lègerement bridés trahissent ses origines asiatiques, ses pupilles et iris sont noires ce qui donne un tout étrange quand on le regarde dans les yeux puisqu'il est difficile de savoir où commence son iris et où finit sa pupille. On peut donc difficilement évaluer les endroits dans lequel il regarde. En dernier détail on pourra noter la présence de boucles d'oreilles dans son lobe gauche, 3 pour compter précisement.

Ses vêtements sont en générals très simples, un pantalon de toile noire, une chemise blanche, une cravate parfois. Il change souvent d'affaire, son seul manteau récurent est un vêtement de toile grise avec une capuche entourée de fourure noire (qu'il prétend être de la crinière d'Hll) et où se dessinent des arabesques décoratives typiquement asiatiques. Ce manteau long lui descend jusqu'au genoux et le protège de la plupart des intempéris.
Récurent aussi est sa ceinture noire attachée nonchalament à sa hanche et d'où pendent 2 uzis toujours chargés.

Description morale: So est un être froid et distant, enfermé dans la mission qu'il s'est chargé d'accomplir. Epurer le monde des créatures qui sont une insulte au tout puissant.
Cependant il n'a rien en particulier contre les créatures, mais estime que les pauvres sont née d'une erreur et que leurs chairs, leurs esprits et leurs vies sont corrompues par le malin et que la souffrance qu'elles endurent doit prendre fin. Le seul moyen de mettre terme à leur douleur est la mort et personne ne s'en ai jamais plaint.

C'est un fanatique dévoué, un soldat du tout puissant, de l'incarnation de la bonté. Il croit dur comme fer que le seigneur veille sur lui d'en haut et que le jour de sa mort sera le jour où il aura libéré assez d'âme. Ce jour là, Dieu estimant que son serviteur aura assez bien travaillé, il le rappelera à lui au Paradis.
Tout les matins il va à la Messe et arrête toutes ses activitées pour y assister. Il n'a raté qu'une seule fois cet évênement quotidient et a été rongé de remord pendant plusieurs semaines.

D'autre façon, comme dit plus haut, il est assez froid et farouche, il est difficile de l'approcher malgrès le fait qu'il soit charismatique. Les seuls personnes qu'il apprécient sont Constance et les quelques personnes qu'il a rencontré. Il considère la papesse du Cercle du Graal comme une envoyée divine chargée d'accomplir la volontée du seigneur.

Talent(s) particulier(s): Aucun
Style de combat: So utilise les armes à feu et se spécialise dans la manipulation des uzis. De plus il est parfaitement ambidextre ce qui lui donne la capacité de se servir de ses deux armes favorites en même temps.
Autre: Aquaphobique, ne se baigne que dans de l'eau qui a été bénie.
Créature que le personnage rève de tuer: Aucune créature ne meriterais d'avoir plus d'attention que les autres dans la délivrance de la mort. Être prisonnières de leur chair impie est un fardeau dont il faut les liberer au plus vite, sans favoritisme.

Histoire:
Une main passée sur le front d'un enfant, quelques goutes d'un liquide translucide et ces mots qui resonnent dans la salle.

« Au nom du père je te baptise.»

Un cri poussé puis les lourdes portes de la cathédrale qui claquaient.

***

Carl ou plutot Sorrow releva la tète, comment en est-il arrivé là ?

***

C'était une belle journée d'Eté, les oiseaux laissaient entendre leur cri de joie et de bonne santé, les arbres centenaires du domaine des Dojaku filtraient la lumière et plongeait le chateau dans une pénombre.
Un des serviteurs jeta un regard inquiet par une des fenètres avant de s'en retourner auprès d'une jeune femme qui tenait un linge imbibé de sang.

« Dans l'ombre..la maison de notre cardinal n'est jamais dans l'ombre à ce moment de la journée.»

Il effectua un rapide signe de croix alors que la jeune femme se contentait de baisser la tête, les mains encombrées par le tissu vermeille.

« C'est mauvais signe.. »

Dans une autre pièce, dans un autre événement une jeune femme pleurait, de longes traces sinueuses tourbillonait le long de ses joues boursoufflée par la douleur. Elle soufflait et chaque fois qu'elle remplissait ses poumons une terrible douleur lui brulait l'intérieur, lui faisant relacher l'air précieusement inspiré. Elle n'en pouvait plus.

« Courage ! Vous y êtes presque. »

La jeune asiatique retomba sur le lit alors qu'un cri sourd et puissant emplissait la pièce sous le regard froid de Mme D'Aéris. Vêtue de vert, à la manière des vipères ses yeux topazes se posèrent sur cet enfant qui n'était pas le sien. Elle porta doucement son porte cigarette à sa bouche et en tira une longue bouffé qu'elle exhala quelques secondes plus tard.

« Marc ?! Quel nom donnerez vous à notre fils ? »

Monsieur d'Aéris sortit de l'ombre d'une grande comode, une grosse montre ronde brillait à ses flancs, les mains dans le dos il regardait la jeune femme effondrée sur le lit en sang.

« Et bien appelons le Carl, comme il en était convenu. »

Et sans plus de cérémonie, il sortirent de la pièce laissant la fille au cheveux noirs seule avec les domestiques.

Temiko était une jeune femme de 17 ans, des yeux bridés aussi noirs que la nuits, des cheveux de la couleur du corbeau, une peau halée et magnifique. À l'age de 15 ans elle s'était enfuie du Japon, pour venir en France, au pays des amoureux, retrouver celle qu'elle aimait et qui vivait en France. Malheureusement une fois la bas, son homme l'avait battu et pris ses papiers. Sans réelle considération il l'avait vendu au plus offrant, à savoir les illustres d'Aéris.
Elle était devenue leur esclave, la boniche.
De longues larmes mouillant son visage venaient s'echouer sur les draps de satin blancs, mais celles ci n"était pas de souffrance, loin de là..

Le cardinal posa un verre sur la table, des doigts fins se resserent autour puis il fut porté aux lèvres de la Mme d'Aéris.
Vidant le contenu incolore qui se trouvait dedans, elle le reposa et darda son regard sur son mari qui fumait nonchalament la pipe. Qu'elle belle idée il avait eu là ! Tout les deux voulaient absolument un descendant qui serait aussi bien aisé et instruits qu'eux. Cependant Mme d'Aéris était stérile et l'idée de porter 9 mois un enfant dans son ventre, comme un parisite lui avait déclencher plusieurs fois quelques nausées. Alors que tout deux cherchaient un autre moyen en évitant l'adoption si onereuse et facheuse pour leur réputation, Temiko était entrée dans la pièce.
Les regards des époux s'était croisé et le soir même, Monsieur d'Aéris violait sa bonne.

Par chance, elle tomba du premier coup enceinte, Monsieur avait été très contrarié de devoir accorder l'honneur de sa semence à une chienne asiatique.
Elle serait la mère bilogique, la poule couveuse, la mère grasse et grosse qui porterait l'enfant alors que Mme d'Aéris glissait des oreiller de la soie la plus douce sous ses robes, imitant à la perfection l'embonpoint pris par Temiko. Il ne restait plus qu'a la faire accoucher dans un lieu saint, à savoir la maison du Cardinal, pour laver le futur enfant du péché du ventre dans lequel il s'était developpé.

« Noooooooon ! »

Les portes de la cathédrale se refemerent alors que Temiko chutait sur les pavès gris qui se joignaient au sol. Une canne placée dans ses pieds lui avait couper la route. Toue le monde lui jeta un regard outré, que faisait-elle ici ? Avec sa robe déchirée, ses cheveux du diable en batailles et sa langue bifide de serpent. Les parents d'Aéris enjoignerent le curé à continuer la cérémonie de bapteme qu'il faisait sur Carl.

« Seigneur qui êtes au cieux, voy.. »

« Urusai !! Atachi irassharu seibo. » (1)

Elle pleurait tellement qu'elle n'arrivait pas à se relever. Elle ne parlait pas un mot français, son ancien petit-ami, les parents lui balançaient quelques mots en japonais. Elle avait cru que le père voulait lui donner un enfant à elle et voila qu'un domestique venait de lui expliquer que cet enfant n'était plus le sien, qu'après le baptème il serait inscrit dans les registres de l'Eglise comme Carl d'Aéris et que jamais elle ne le reverait.
Prise de panique, elle avait couru, couru le plus vite qu'elle pouvait jusqu'au lieu de baptème. Elle devait absolument empecher ce sacrement, Soru était son fils, elle l'avait appelé comme ça, Sorur par Carl.

Elle hurlait, elle hurlait.

« Yamete ! Yamete !! » (1')

Un air d'affolement sur le visage, les invités ne comprenaient pas un traitre mot de ce qu'elle disait et d'un geste d'Anne d'Aéris, on la sortit de force du lieu bénis et on referma les portes.

La dernière fois qu'elle vit son enfant, ce fut dans les bras de la fausse mère qui le tenait, amoureusement lové contre elle.

Trois jours plus tard, on repechait le cadavre d'une jeune asiatique dans la Seine.
Assassinée d'une balle dans la tète on conclua à un suicide de la part d'une immigré qui n'avait pas trouvé son bonheur en France et tout le monde oublié jusqu'à l'existence de Temiko.


Soru continua sa vie sans connaître la véritée sur ses origines, sa mère était froide, très distante avec lui. Son père absent. Tout les deux considérait que l'amour n'était pas une base essentiel pour construire un individu et le jeune garçon fut ,très jeune, confié à des precepteurs divers qui lui enseignerent tout ce qu'il fallait savoir et en firent un fervent chretien.

Grandissant, Carl fréquenta un lycée privé catholique dans lequel il devint la risée de la classe, timide, reservé, peu habitué aux contacts sociaux, il étaient le bouc émissaire d'enfant riche et gatés. Passant son bac avec mention très bien, il retourna auprès de ses parents. Ceux si avaient viellient, malheureusement ils restaient toujours aussi haustère et l'adolescent n'y trouva plus som compte.

C'est alors qu'il entendit parler d'Adhénor, de cette nouvelle terre de promesse, de richesse et de gloire. Il y avait aussi mention de quelques espèces hostiles qui ne tarderaient pas à être exterminées pour laisser grande place à l'avançée de l'espèce humaine.
Tout les jours il suivait avec un oeil contemplatif les avançées de l'espèce divine sur cet incroyable monde parrallèle que le seigneur leur avait offert.

Cependant, il constata avec une visage critique, que les races présentes sur le nouveau monde empéchait toute évolution. Les hors-la-lois, cette race barbare qui ne reconnaissait pas la puissance du seigneur.

Sûr de lui, un beau soir, il fit son sac et partit voir le portail. Quand il arriva en vue de celui ci il trouva un énorme orbe tourbillonant qui n'avait rien de ce qu'il s'était imaginé. Ce qui se trouvait face à ses yeux, était réelement une brèche entre les mondes, des mondes qui n'aurait jamais du se cotoyer, jamais. Une plaie béante qui saignait. Avalant sa salive, pour la dernière fois sur terre, il traversa le portail.

La chuète fut brutale, en effet il s'était retrouvé 10 mètres au dessus du sol d'Adhénor et avait bien dut se rompre un poignet en se receptionnant. Quel monde ..si ressemblant, on y voyait des constructions humaines partout. Un hll traversa sous son nez, une bannie dans une ruelle se battait avec le papier d'un cadeau qu'elle tenait entre ses doigts de créatrice. Pas de guerre, où était toute cette violence qu'on lui avait décrite ? Ces créatures difformes qui sucait le sang de la planète.

« Nouveau ici ? Je sais tout le monde recoit un choc une fois le portail passé. »

Une vois douce et calme, Carl releva les yeux pour poser son regard dans celui d'une jeune femme aux dents pointues et aux yeux verts, très verts. Elle avait tendu une main pale vers Carl pour l'aider à se relever.
Les pensées se bousculerent dans l'esprit de l'humain. c'était une hll ? Elle ?

« Vous êtes ? Vous êtes native de cette terre ? »
« En effet, on me nomme Ziphir, je suis une horl-la-loise. »

Ni une, ni deux, Carl attrapa la main de la jeune femme et l'ammena dans une impasse, surprise elle se laissa faire. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'il sorte une lame qui était dans sa poche et qu'il ne l'enfoncent dans le ventre mou de l'hll. Celle ci suffoça en crachant du sang sur le bras de Carl. Chutant au sol, elle jeta un dernier regard au bras de Dieu avant que celui ci s'en aille, la laissant mourir seule dans la ruelle avec pour dernière compagnie celle de son sang glissant entre les pavès.

Très rapidement, Carl entendit parler de l'ADH. Une association de destruction humaine, quel nom barbare.
Toujours très sûr de lui, il frappa un soir à la porte du Dragon Rouge. Entrant, il s'installa au comptoir, balayant son regard noirs sur les quelques créatures impies qui se mouvaient en ses lieux pourris.
Il attendait le dénommé Sïan Spelt, un jeune hors-la-lois de 19 ans qui dirigeait audacieusement ce clan barbare.
Quand ce dernier entra, il se jeta sur lui, lame à la main. Effleurant à peine l'hll qui l'évita un sourire effiché sur les lèvres, il recut un magnifique coup de gemou dans le ventre qui lui coupa le souffle et après lui avoir balançé un coup de griffe dans le le dos, Sïan le sortit du Dragon Rouge à coup de pied au cul.

Ce fut la défaite le plus humiliante pour Carl, voulant se debarrasser de son ancien nom pour renaitre, il prit le sobriquet de Sorrow. Douleur..
Il avait toujours hésité à entrer dans le clan des Tueurs, le cercle du Graal et ce fut l'arrivée de la glorieuse Constance Wolf, qui le décidé. Il la guetta pendant plusieurs jours, ratant même une fois la messe et s'arrangea pour qu'elle le voit en train de combattre un hll en lui préchant la parole divine; Il vint ensuite à sa rencontre et lui demanda de bien vouloir l'accepter offcielement dans le clan du Graal pour qu'il puisse répandre la parole du seigneur dans ce monde impûr.

Elle accepta et la vie de Sorrow ne prit plus d'utilité que pour servir le seigneur et sa réprésentante.


(1) Tait toi ! Je suis sa mère biologique !
(1') Arretez ! Arretez !

j'ai un trou de mémoire pour "tais-toi"
mais pour arrêtez je dirais "yamete" excusez mon orthographe approximative...

Erreur ! je me souviens : "Urusai" pour "tais toi"

Finie, il me reste à corriger les fautes..

Merci pour la traduction Constance ^^

Un plaisir de t'accueillir...
Validé !
bon jeu !