Une visite....

Thalie serrait les dents, elle avait trop mal pour chercher à partir. De temps en temps un petit gémissement s'échappait de sa gorge et mourrait dans le laboratoire. Son sang continuait de couler... elle entendit Lee parler, mais ne comprit que quelques mots, hémoragie, sérum... puis Karl quelque peu s'néerver, des coups furent donnés, et l'adolescente ne put s'empecher de se raidir, ce qui ne fit qu'accroitre sa douleur.

La banie posa un regard mi vide mi suppliant d'aide sur Lee... Il ne pouvait pas l'aider ?
Une ombre gigantesque s'approcha d'elle, lueur orangée d'un briquet... nan... il n'allait tout de même pas faire ça ! Les yeux de la banie se fermèrent, elle n'en pouvait plus de douleur, trop de chose la tiraillait, elle souffrait, mais en même temps elle aurait aimé partir loins d'ici. Qu'est ce que Karl allait lui faire ? Pourquoi est ce qu'il chauffiat du métal... il n'allait tout de même lui bruler les ailes ? au quel cas, la petite banie défendrait chèrement son bien...

Dans un long soupir douloureux, ses épaules se soulevèret, et la mèche de ses cheveux attaché par le ruban noir, tomba sur sa main...

*maman...*

Lee regarda un instant et dans un mouvement rapide, il le menaçait de son arme. Lee ne bouge pas mais voilà que Karl le frappait à un endroit l’empêchant de respirer. Il faillit s’étouffer ne s’entait plus du tout d’air dans ses poumons. Karl se contenta de prendre son briquet et de le relâcher. Quand il eut refrapper lee respira à plein poumon. Il mit un certain temps pour reprendre un rythme cardiaque normale.
Lee écouta les paroles de Karl avec de plus en plus de mal pour garder son calme. Il ne comprenait pas son esprit. Voilà bien dix ans qu’il n’avait jamais ressentit de la pitié pour quelqu’un et voilà que pour cette créature, il en ressentait. Comme cela se faisait il ?

*surtout ne le montre pas, tu as une réputation à garder*

Il regardait comment agissait Karl et avait au contraire de son habitude il avait mal pour la bannie. Il n’était pas calme ou froid mais des sentiments oubliés refaisaient surface. Il compatissait. La réponse de Karl ne le rassurait pas. D’après le ton qu’il avait employait ne présageait rien de bon. Il n’avait pas l’intention de la garder en vie. Ce n’était pas vraiment le jour où lee aurait voulu voir un meurtre ou un cadavre.

Il s’approcha un peu. Elle avait l’air tellement mal. Pourtant son expression ne changeait pas. Elle gardait toujours de la fierté. Elle avait toujours cette pointe d’assurance. Elle n’avait pas encore compris que la personne qui était en face d’elle n’était pas prête à faire de cadeau.

Il s’approcha de Karl et lui posa une main sur l’épaule

« Tu compte faire quoi avec ce couteau ? Et puis on n’est pas dans un endroit en sûreté pour la supprimer. Tu devrais al garder en vie elle peut peut-être te servir… »

Son thon n’était pas très sûr, totalement différent de l’habitude.

« et puis si tu pouvais me rendre mon briquet… »

Lee faillit faire une syncope quand il entendit les différentes actions qu’entreprendrait Karl sur la bannie. Il se considéra déjà comme sadique mais à ce point là, il n’avait jamais vu. Vraiment Karl avait l’air de ne ressentir encore moins de sentiments. Il avait l’air d’un robot. Il ’avait rencontré pas mal de personne pareil, mais pas à e point là. Même constance avait l’air d’émaner une once de sentiment quand elle parlait. Là c’était vide et froid. I lavait décrit les tortures qu’il allait lui faire comme s’il lisait une liste de ourse qu’il fallait absolument acheter au plus vite. Lee ne pouvait plus laisser faire ça. Mais comme lui avait préciser Karl il n’avait pas à se mettre vraiment entre lui et la bannie, sinon, il serait un traître pour les tueurs. Il fallait donc réfléchir au plus vite sinon, toutes ses sentiment retrouvé ne servirais à rien. Il réfléchit longtemps. C’était des personnes comme cela qui avait détruit sa vie. Mais elle était si jeune, elle n’avait put tuer ses parents. Elle semblait demandé tant d’aide. Lee n’en supportait plus.

Il replaça une main plus assurée sur son épaule. Il le regarda quel que instant. Il lui parla d’une voix assez calme et froide. Il montrait qu’il n’avait vraiment aucun sentiment pour cette bannie. C’était, elle lui inspiré seulement de la pitié sans plus.

« Tu sais, j’ai une méthode bien plus rapide qui aura le même effet que tout ce que tu viens de me décrire. Tu va voir »

Lee ressortit ses deux grelots. Il commença à appuyer sur les boutons et du fil sortit. Il les dirigea vers les pieds de la bannie. Ils finirent par l’entouraient de plus en plus. Au bout d’un moment tout son corps était entouré de fils. Seul le nez et la bouche restaient à l’air libre pour pouvoir respirer.

« Voilà, elle est aveugle, sourde, et attachée. Elle ne peut rien faire. »

Thalie équarquilla avec effroi les yeux lorsqu'elle entendit les intentions de Karl, et tenta un mouvement pour s'enfuit, mais ses membres endommagés refusèrent de bouger, et elle ne put que rester ici.

*Quite à mourrir... mourront fièrement...*

Faisant tous les efforts possible, elle essaya de s'asseoir, mais Lee appuya sur ses grelots et les fils l'entourèrent, l'empèchant de finir sa manoeurvre. Elle s'écroula à terre dans un petit cri de douleur, étouffé par les larmes. Bientôt elle n'entendit plus rien, aucun son ne filtrait, elle pouvait juste respirer... Ce à quoi Lee n'avait pas pensé était qu'elle avait 2 balles dans le corps, et que la position dans laquelle elle se trouvait était des plus douloureuse, son épaule étant reculée, et sa jambe contre le sol. Les larmes continuaient de couler, mais la banie ne lemontrait pas, elle gardait la fierté si connut de son clan.

*Il me cassera pas les poignets... non mais oh !*

Pourtant, elle était impuissante face à la situation présente... Mais ne l'admettait pas

(hj: bon j'en ai marre d'attendre)

Thalie essayait désespérément de se libérer de ces liens qui lui coupaient la circulations dans les membres, gênaient ses mouvements, et par dessus tout, la mettait dans une telle situation d'inconfort, qu'elle n'en pleurait plus. Son sang tachait toujours un peu plus les fils qui l'entouraient, mares rouges sur ce cocon blanc...

*mais laissez moi sortir ! Et puis d'accord tu m'emmenes où?*

Elle gigote, un peu trop, ça lui fait mal, trop mal, elle ne supporte plus cette douleur... ce raclement que produit son corps trainé sur le sol...
Elle aurait aimé tuer cette homme qui la faisait souffrir, et se soigner rapidement... Non, son premier voeu aurait été d'enlever ces balles qui lui faisaient mal, et de soigner ses blessures;..

*j'en ai assez ce ce cirque*

Mais elle n'a pas la force de bouger, alors elle se laisse trainer, comme un vulgaire coli... et sa fierté en prend un sacré coup...

Pourquoi faillait il toujours qu’on vienne l’embêtait quand il essayait de s’entraîner doucement à l’écart des personnes. Là il était dans son droit. Il ne martyriser pas de créature. Pourquoi faillait il que l’embête et surtout qu’une créature vienne s’en mêler. Et puis cela commençait à agacer Lee qui jusqu’alors avait fait preuve d’une patience. Lee savait ce qu’il faisait, il ne serrait pas assez fort pour battre Karl, il avait alors tout joué pour protéger cette créature.. Il fallait que cette créature arrête de se débattre c’est tout. Pour cela il avait bien envie de l’assommer .Elle essayait de se débattre et de placer quelque mot. Lee ne fit pas attention, il l’avait déjà sauvé une fois pas eux. Il tenait à sa réputation. Mais au bout d’un moment il finit par se rendre compte que l’humain était entrain de parler .il fit attention au paroles de Karl qui importait plus. Il le traitait de sentimental. Lui sentimental, c’était bien la première et la dernière fois qui le serait. Il se le promettait.

Karl commençait à s’éloigner en traînant la jeune créature.. De toute façon Lee s’était tu, trop occupé à rependre son état normal pour parler à Karl. Lee ne voulait pas la voir mourir devant lui. Qu’elle meure ça il s’en fichait. Mais ce n’étais pas le jour pour lui de voir su sang. Il n’était pas du tout d’humeur à pouvoir en voir. Pourtant se retrouver seul là sans personne ne lui plaisait pas non plus. Il aimait bien Karl malgré son côté froid et distant au début. Il ne voulait pas le quitter. Il fallait dire qu’il l’impressionnait beaucoup. Lee se mit à ressentir des choses bien différentes pendant un moment. Il essaya vite de les enlever de son cerveau et fonça vers Karl.

« Attends, Karl, je viens avec toi. Je te suis jusqu’à la cache. Ca va te paraître stupide, mais j’aime bien ta compagnie. Et puis tu pourra me dire d’où te vient cette force… »